Depuis plus de 4 générations, la famille Galineau s’est forgé une expérience profonde de la vigne et de ses terroirs. La famille est vigneronne depuis l’arrière grand-père René Galineau, né en 1886. En 1968, Michel et Marie Claude exploitent ce vignoble. La famille Galineau s’investit quotidiennement au profit du vignoble et de ses terroirs tout en développant les derniers moyens techniques de production pour réaliser des vins de grande qualité. Depuis 2003, Dominique Galineau a succédé à ses parents.
Pour Dominique Galineau, l’année 2017 a été hétérogène et compliquée. Les conditions climatiques du printemps n’ont pas permis une maturité suffisante avec un peu trop d’acidité, mais couleur et tanins sont présents et, nous dit-il, je suis plutôt content de ce millésime dont la quantité raisonnable rejoint une qualité certaine.
Ses ventes en 2018 : uniquement des 2016. Il commercialise ses vins pour 98% à l’export (Europe, Asie, Etats- Unis). Restructuration annuelle du vignoble.
Son Bordeaux Supérieur 2016, de robe grenat intense, aux notes de cassis bien mûr, corsé, est un vin typé, avec ses notes persistantes de fumé et de cerise noire, d’une belle finale. Le 2015, qui mêle finesse et richesse aromatique, de bouche suave et veloutée, très parfumée (fruits rouges surmûris, cannelle), riche en couleur comme en charpente, d’une belle finale, de garde, bien sûr. Le 2012, de robe grenat, d’une belle harmonie avec ces notes de petits fruits rouges mûrs, associe couleur et matière, de bouche ample à dominante de fruitsfrais et d’humus. Beau 2010, de belle couleur, aux arômes de musc et de groseille cuite, gras et persistant, aux tanins amples, charpenté.
Joli Bordeauxblanc, à dominante de fleurs blanches et de noisette, fruité, harmonieux.
Le vignoble, créé et planté par Yvon et Pâquerette Dubost en 1975, est situé sur des terres exceptionnelles, uniquement composées de cailloux et de graves, limitrophe de Lalande de Pomerol et Montagne-Saint-Emilion. La propriété de 9 ha, située à 70m d’altitude, exposée au sud-ouest, a des vignes vieilles de 30 ans en moyenne. Le vignoble n’est pas désherbé chimiquement mais travaillé régulièrement. Enfin, dans le souci de préserver la qualité de nos vins, les vendanges sont intégralement faites à la main, avec égrappage total. L’encépagement à prédominance de Merlot noir (65%) est complété par du Cabernetfranc (17,5%) et du Cabernet–Sauvignon (17,5%).
Superbe Bordeaux Supérieur 2015, vendanges manuelles, triage pendant le ramassage, vinification traditionnelle…, au nez intense où s’entremêlent la griotte et l’humus, un vin corsé, mêlant distinction et structure, finement tannique, tout en bouche, parfait sur une pintade aux lardons et au céleri ou un rôti de magrets de canards. Le 2014 est corsé, aux tanins amples, soyeux et très bien équilibrés, un vin au nez intense (mûre, groseille, épices…), de bouche souple, de bonne garde. Le 2012 est un vin de robe soutenue, bien charnu, complexe et subtil à la fois, dominé par les petits fruits rouges mûrs et les sous-bois. Le 2011 est de roberubis profond, avec des nuances de violette et de framboise mûre, un vin gras, épicé, tout en finale. Séduisant Bordeauxblanc Château Pâquerette, 65% de Sauvignon, 25% de Sémillon et 10% de Muscadelle, au nez dominé par les fleurs fraîches et les petits fruitssecs, suave, tout en persistance aromatique, tout en souplesse, un vin charmeur. Même propriétaire que le Pomerol Château Lafleur du Roy.
“J’ai repris le projet passionnant de mon grand-père Louis Filippi qui a créé cette propriété dans les années 1960, nous raconte Anne-Sophie Gillet. Nous avons sorti deux nouvelles étiquettes, une, pour le Bordeaux Supérieur élevé en fûts de chêne, où l’on retrouve le blason du château et, sur l’autre étiquette, celle du Bordeaux élevé en cuve Inox, une stylisation du château. J’ai apposé sur les deux étiquettes une maxime que j’ai retrouvée sur les bouteilles produites par mon grand-père en 1970, “versez doucement, c’est là l’authenticité”.
J’ai eu beaucoup de chance de produire trois grands millésimes de suite. Nous avons obtenu la certification Terra Vitis, une démarche écologique qui me tenait à cœur.
Pour la vendange 2016, nous avons aussi investi dans un pressoir vertical “à l’ancienne”, un petit pressoir italien qui nous a permis de vraiment gagner en qualité pour les vins de presse. Le raisin est moins écrasé, cela donne plus de finesse aux vins.En 2017, au château Boutillon, nous dit Anne-Sophie Gillet, le gel a sévi sur les Cabernets avec une perte de 30%. Les Merlots, eux, n’ont pas souffert. Après le gel, nous avons eu une période de sécheresse, d’où concentration d’arômes, l’on retrouve un fruités’apparentant aux fruits de la passion, une belle structure et une couleur intense. Ce millésime “exceptionnel”, précise-t-elle, se rapprocherait du 2015 par son intensité aromatique.
L’année 2017 a été également, pour nous, le début d’une vinification sans sulfites.
A partir de Juin, nous proposerons à la vente Luigi 2016 (100% Merlot, élevé en fûts de chêne, âge des vignes 38 ans), le Bordeaux Supérieur 2016, boisé, et le RoséCuvée Manou 2017, qui développe des arômes gourmands de framboise, de fraise.
Une nouveauté cette année : un Cabernet franc 2016 qui sera en édition limitée. Nous sommes toujours certifiés Terra Vitis.
Elle peut être satisfaite de son superbe Bordeaux Supérieur Luigi 2015, “Luigi” en hommage à son grand-père, étiquette noire et or, très élégante, élevé en fûts de chêne, qui associe finesse et structure en bouche, un vin charnu, au nez concentré (violette et cassis), aux tanins présents et harmonieux, riche en couleur. Le 2014, au nez complexe, où dominent le cassis mûr et les épices, est un vin puissant et harmonieux, avec beaucoup de structure, de charpente élégante.
Tout en charme, le BordeauxroséCuvée Manou 2017, de très belle teinte, tout en finesse, de bouche fine, aux arômes de fruitsfrais et de rose, d’une longue finale parfumée, idéal, par exemple, sur des crevettes flambées ou un tajine de veau aux fèves et artichauts.
Le Bordeaux Supérieur 2016, pur Merlot, est de couleurpourpre, de belle charpente, où dominent les épices et le pruneau, un vin charmeur, tout en souplesse.
Toujours au sommet de son appellation avec ce superbe Bordeaux SupérieurcuvéeLouisa Bio 2016, élevé en fûts de chêne 12 mois, dont 1/3 de barriques neuves, vinification traditionnelle avec cuvaison longue (vignes 25 ans en moyenne, Merlot et Cabernet-Sauvignon sur solargilo-calcaire), au nez intense où s’entremêlent les fruitsmûrs et l’humus, est un vin corsé, avec des tanins présents et savoureux, très bien élevé, alliant puissance et finesse, de garde. Le 2015 est dans la lignée, très parfumé, au nez persistant (griotte, violette), très équilibré, aux tanins savoureux, ample et parfumé, associant puissance et finesse au palais, avec des nuances de de cerise confite et d’humus. Le 2014, médailles d’Argent au Concours des Vins Biologiques Amphore Paris 2016 et de Bronze au Challenge Millésime Bio 2016, Challenge International du Vin 2016 et à Mâcon 2016, est de robe grenat, au nez puissant et persistant de fraise des bois et de cassis, avec, au palais, des nuances de fumé et de prunemûre, un vin comme nous les aimons, franc et typé, de très bonne garde.
Le Bordeaux Supérieur 2015, intense au nez comme en bouche, bien concentré mais tout en souplesse, au nez complexe et subtil dominé par la cerise confite et l’humus, est un vin corsé, savoureux. Quant au Bordeaux rouge Bio 2016, il est très classique, de couleur grenat soutenu, tout en richesse et finesse, un vin de bouche puissante et charnue, parfumé (mûre, humus…), avec des tanins mûrs.
Il y a aussi le Bordeauxrosé Bio Mademoiselle Adèle B. de Compostelle 2017, un vin très agréable, très fruité, franc, qui associe la fraîcheur à la rondeur. Voir le Château Pont Les Moines, dans les Côtes.
A l’ombre d’une chapelle du XIe siècle, Henri-Louis Fagard, aidé de son épouse Florence et de leur équipe, élèvent des vins de terroir, authentiques et racés.
Voilà un très beau Bordeaux Supérieur cuvée Prestige 2015, 80% Merlot et 20% Cabernet- Sauvignon, charnu, de robe soutenue, au nez complexe où dominent le cassis bien mûr et le cuir, de couleurrubis, un vin corsé, d’excellente évolution. Excellent 2014, au bouquet subtil avec des notes de sous-bois et de myrtille, de bouche fondue, un vin qui allie rondeur et charpente. Le 2012, charnu comme il se doit, tout en nuances avec des notes de griotte et de cannelle, légèrement épicé, volumineux au palais. Le 2011, qui développe un nez délicat de sous-bois et de cassis, un vin de bouche souple, tout en saveurs. Le 2010, très représentatif de ce grand millésime classique bordelais, riche et soyeux à la fois, avec une bouche puissante, parfumée et persistante (violette, pruneau), est coloré, de très bonne évolution.
Le Bordeaux Supérieur 2015 est de robe rouge teintée cerise noire, un vin de bouche très équi- librée au volume harmonieux et aux taninssoyeux.
Goûtez leur savoureux Lussac-Saint-Emilion Château La Jorine 2015, également à la tête de son appellation, tout en arômes, un vin charnu et souple à la fois, corsé et rond, intense au nez comme en bouche avec des nuances de cerise noire, charnu comme on les aime, de garde.
Exploité depuis 5 générations. Le Château a été bâti au XIIIe siècle par le roi Edouard IV d’Angleterre; c’est l’un des plus vieux châteaux féodaux d’Aquitaine. Marie-Cécile Fougère, charmante et dynamique, s’occupe des vinifications de cette belle propriété qui compte quelque 50 ha de vignes sur solargilo-calcaire.
Superbe Bordeaux Supérieur 2014, médaille d’Or à Paris, 57% Merlot, 27% Cabernets et 16% Malbec, aux nuances complexes de fruits des bois, tout en bouche, où se décèle une jolie finale épicée au palais, d’une robe rouge cerise limpide. Le 2012, médaille d’Or à Blaye, se goûte parfaitement aujourd’hui, un vin très parfumé, très équilibré, aux tanins mûrs, au nez de cassis, avec cette touche épicée persistante, d’une belle finesse au palais. Le 2010 est coloré, aux arômes persistants de petits fruits rouges mûrs, avec des taninssouples et très équilibrés, un vin typé, comme à son habitude. Le 2009, de couleurpourpre, avec des arômes de fruits et d’épices, soyeux et dense en bouche, mêle structure et souplesse, classique de ce très grand millésime bordelais.
Il y a aussi ce remarquable Entre-Deux-Mers 2015, issu d’une macération pelliculaire courte, élevage sur lies, très expressif, d’une belle persistance aromatique, vif, qui sent les fruitsfrais, idéal aussi bien sur des raviolis au fromageblanc qu’avec un carpaccio de poisson.
Au sommet de son appellation. Le choix de la culture biologique était évident pour ce passionné vétérinaire ostéopathe, créateur et organisateur de la Foire Biologique et artisanale de Libourne depuis 1999, qui s’est lancé dans l’aventure en 2004 avec 2,53 ha de vignes installées sur deux coteaux orientés nord-sud pour les Merlots (70%) et est-ouest pour les Cabernets-Sauvignon (30%), puis 84 ares en 2015, pour atteindre 3,37 ha. Les parcelles sont d’âges différents : 15, 30 et 50 ans. Vendanges manuelles et conviviales, tris sur pieds et sur table à l’entrée du chai, vinification sans apport de levures, élevage en cuves et en barriques. Certification Biodynamie Demeter depuis 2016.
– La pratique culturale : les rangs de vignes, enherbés, autorisent la faune et la flore auxilliaires. La taille est en majorité en guyot double à deux astes avec 8 bourgeons par pied. Les rangs sont travaillés sous les pieds. Les entrecoeurs sont éliminés. L’effeuillage se fait du coté du soleil levant. La vigne est accompagnée par des préparations de plantes, des algues (lithotamme), et un minimum de cuivre et de soufre. Les vendanges sont faites à la main dans une atmosphère conviviale. Une première sélection des baies est faite sur pied et, depuis 2008, un deuxième tri est réalisé sur table à l’entrée du chai.
– La vinification : une première macération à froid précède la fermentation naturelle sans apport de levures extérieures. Selon les années (la quantité de récolte) celle-ci est parfois faite en tonneau ouvert à l¹ancienne (pigeage à la main). Une macération post fermentaire à chaud est généralement utilisée. La fermentation malolactique est faite en cuve ou en tonneau. L’élevage est réalisé en partie en cuve et en partie en barriques. La mise en bouteille est réalisée sans filtration (ou presque). La maturation a lieu à température constante dans la carrière souterraine.
“Mon objectif premier, dit Jean-François Moniot, est de produire un vin que j’aime et que je puisse avoir du plaisir à partager entre amis. Ma ligne de conduite est l’apprentissage et le respect d’un terroir et d’un lieu, pour élaborer un vin sincère et authentique.”
Vous allez aimer ce Bordeaux Supérieur rouge cuvée des Mille et une Nuits 2015, charpenté, bien charnu, de belle robepourpre soutenu, au nez légèrement épicé, suave au palais, avec des nuances de cerise et de réglisse, aux tanins fondus mais structurés à la fois.
Le Bordeaux Supérieur 2014 Bio, 80% Merlot, le reste en Cabernet-Sauvignon, d’une robe rouge cerise limpide, développe des arômes de cassis et de griotte et une bouche fraîche aux tanins fondus, est un vin qui s’accorde, par exemple, avec des tendrons de veau aux champignons et à la tomate ou un filet d’agneau au chou. Le 2012, est de jolie robe, bouqueté, au nez de petits fruits rouges frais, de très bonne charpente, aux tanins équilibrés, très charmeur. Excellent 2011, aux notes de fruits rouges et d’humus, velouté, au bouquet très fin, de bouche puissante, ample, aux tanins soutenus et souples à la fois, très savoureux. Le 2010 est plus riche, bien sûr, parfumé et persistant, aux tanins équilibrés, et mêle une charpente certaine à une jolie souplesse au palais, de bonne garde.
Il y a aussi ce Bordeaux Supérieur rouge cuvée Lise 2012, élevage en barriques, qui mêle concentration aromatique et délicatesse en bouche, avec ces arômesd’épices (cannelle) et de griotte, aux tanins équilibrés, et ce Bordeaux Supérieur Adélaïde 2011, riche mais fin, très parfumé, au nez où dominent la prune et le musc, harmonieux.
Château AUX GRAVES DE LA LAURENCE
(BORDEAUX SUPÉRIEUR)
Bernard et Marie-Odile Hébrard
42, route de Libourne
33450 Saint-Loubès
Téléphone :06 82 05 21 94 et 06 71 80 06 74
Email : h.auxgravesdelalaurence@yahoo.fr
Le Château est un ancien domaine viticole situé au nord de Bordeaux, où, compte tenu de sa petite production, le travail peut se faire “à l’ancienne” : vendanges et tris manuels. Bernard Hébrard a marqué l’œnologie bordelaise grâce à son activité dans les centres oenologiques et à la Chambre d’Agriculture. Il élabore maintenant son propre vin avec l’aide de sa famille et dans le respect du terroir.
Ce Bordeaux Supérieur Réserve Traditionnelle 2015, charpenté, élégant, aux tanins denses, est tout en bouche, aux senteurs de mûre et de pruneau. Le 2014, de belle robe soutenue et brillante, riche, d’une belle concentration d’arômes (cassis, épices…). Le 2013, avec des nuances de cerise confite et de bruyère, mêle charpente et élégance en bouche, tout en souplesse au palais, avec des nuances de groseille mûre.
Très belle étiquette pour la cuvée Ampélos Biturica 2015, riche et harmonieux, au nez intense de fruits macérés, avec des notes épicées, aux tanins amples, un vincharnu et concentré. Cette cuvée est élevée en fûts de chêne, assemblage unique de 6 cépages rouges bordelais (45% Merlot noir, 25% Cabernet-Sauvignon, 15% Cabernetfranc, 7% Petit Verdot, 5% Malbec et 3% Carmenère), cuvée exceptionnelle car elle ne peut être réalisée que lorsque les 6 cépagesproduisent, ce qui est loin d’être le cas tous les ans. cuvée produite en tout petit nombre 2 666 bouteilles en 2014 et 2015, présentées en caisse bois.
Le 2014 est savoureux, avec ces notes de fumé et de pruneau, charpenté, de bouche dense mais bien fondue, où s’entremêlent des notes de fruits rouges macérés et de réglisse en finale, et s’apprécie, par exemple, avec des cailles grillées ou un civet de dinde.
Au sommet de son appellation. Dirigée par Grégory Lovato depuis 2005, médecin et viticulteur, cette propriété de 50 ha (dont 33 ha de vignes d’un seul tenant, sur solgraveleux-siliceux), appartient à la famille Lovato depuis 1973, et a fait l’objet d’investissements importants, plantations ou replantations raisonnées et réfléchies afin d’obtenir un encépagement plus équilibré, 70% de Merlot, 20% de Cabernetfranc et 10% de Cabernet-Sauvignon, rendementsprivilégiant la qualité, vinification traditionnelle avec macérations longues, élevage en fonction des millésimes.
Pour Grégory Lovato, en 2017, les vignes ont subi fortement les dégats causés par le gel, principalement les parcelles de Castillon Côtes de Bordeaux où aucune bouteille ne sera produite. Sur les hauts coteaux, les vignes, plus anciennes, ont été épargnées et nous pourrons ainsi présenter la cuvée Eléonore 2017 qui sera de grande qualité, mais réduite en quantité : 50.000 cols. Après deux années d’essais, nos vins sont maintenant vinifiés sans apport de soufre et ce millésime 2017 en est le précurseur. Nous mettons sur le marché en 2018 les 2015 et 2016.
Vous allez apprécier ce superbe Bordeaux Supérieurcuvée Eléonore 2015, fort bien élevé (macération de 30 jours, 30% barriques, 70% cuves), au nez dominé par les épices et les petits fruits rouges à noyau, riche et parfumé en bouche, avec ces nuances subtiles de pruneau confit, qui mêle structure et velouté.
Goûtez le Bordeaux Supérieur rouge Château Lajarre 2015, de robe soutenue, aux notes de sous-bois et de mûre, qui allie charpente et souplesse.
Le Côtes de Bordeaux Castillon Château Canon Montségur cuvée Gaspard 2015, puissant et fondu à la fois, complexe, avec des saveurs intenses (fruitscuits), aux taninsharmonieux, riche en couleur, de très belle évolution, parfait sur des paupiettes de veau en cocotte ou une côte de bœuf marchand de vin.
Château LAUDUC
(BORDEAUX SUPÉRIEUR)
Famille Grandeau
Maison Grandeau Lauduc – 8, chemin de Lapeyre
33370 Tresses
Téléphone :05 57 34 43 56
Email : contact@lauduc.fr
Site : www.lauduc.fr
Ce propriétaire passionné n’a pas perdu son temps en réalisant de nombreux investissements : mise aux normes du traitement des effluents viti et vinicole, achat de nouvelles cuves Inox de 90 hl, volumes plus petits qui permettent de vinifier séparément les parcelles et offrent plus de choix pour les assemblages, automatisation de la régulation de température, restructuration du vignoble d’une parcelle de 1 à 2 ha tous les 4 à 5 ans. Le Château Panchille est engagé dans la démarche du SME des vins de Bordeaux.
Beau Bordeaux Supérieur 2015, alliant rondeur et charpente, marqué par la prune et la griotte, légèrement poivré comme il le faut en finale, qui se goûte remarquablement. Le Bordeaux Supérieurcuvée Alix 2015, Merlot 90%, Cabernetfranc 10%, 6 mois en cuves et 12 mois en fûts de chêne, aux tanins présents, riche et intense en bouche, marqué par son Merlot, au parfum de cerise et de sous-bois, est dense, charmeur, parfait avec un gigot de printemps aux légumes ou un foie de veau poêlé, laitue braisée au bacon.
Excellent Bordeauxblanc de Fernand 2016, vieilles vignes de Sémillon 60% et Sauvignon 40%, d’une finale longue aux agréables notes d’agrumes, de bouche vive comme le Bordeauxrosé, à la fois sec et friand, très fruité.
Remarquable Graves de Vayres rouge 2015, corsé comme on les aime, gras, bien complexe, harmonieux, aux connotations épicées, alliant une bonne base tannique à une finesse persistante, de garde.
Le Château Pascaud a rejoint en 2017 la belle exploitation familiale des Vignobles Jalousie Beaulieu. Cette transition s’est effectuée en douceur, puisqu‘elle fait suite à 20 ans de fermages auprès de l’ancien propriétaire, Bernard Avril. Philippe Person, œnologue, mène passionnément cette exploitation des Vignobles Jalousie Beaulieu depuis 1995. Il poursuit pour la cinquième génération cette histoire de famille qui a commencé en 1910 avec 20 ha pour atteindre aujourd’hui 160 ha.
Le Vignoble Pascaud représente 27 ha sur un terroirargilo-calcaire planté à 4 600 pieds/ha. Le mode de culture est raisonné et applique les normes du SME (Système Management Environnemental) en vue de la certification environnementale ISO 14 001 sur l’année 2018. La vinification est traditionnelle tout en bénéficiant des techniques les plus modernes et d’un suivi parcellaire pour optimiser les vendanges à maturité.
Beau Bordeaux Supérieur 2015, 100% Merlot, de bouche classique, intense, aux notes de cassis mûr et de fraise des bois, tout en arômes et structure, d’une belle ampleur, un vincorsé, très bien élevé. Le 2014, aux notes de cassis et de framboise, aux taninsronds, est un vin ample et bien classique.
Un domaine de 45 ha de vignes, mené passionnément par Patrick Carteyron, cinquième génération. Le vignoble se situe sur des terrains de graves très localisés, entre le plateau calcaire et la zone de palus. C’est une terrasse caillouteuse du quaternaire apportée par le fleuve, constituée de sables rouges et de galets roulés par la Dordogne depuis le Massif Central, dont l’épaisseur varie de 5 à 8 m, un territoire pauvre propice à la vigne.
Très beau Bordeaux Supérieur Les Cailloux 2014, 100% Merlot, au bouquet très développé avec des nuances épicées, un vin complet, de très jolie bouche où se mêlent la mûre et le cassis, ample et solide. Le BordeauxNatur rouge 2016, toujours pur Merlot, vinifié et conservé sans ajout de soufre, aux senteurs de fruits noirs mûrs avec des notes de musc, aux tanins amples et très équilibrés, allie structure et charme. Il y a également ce Bordeaux rouge Cabernetfranc by Château Penin 2016, de couleur intense, souple et vigoureux à la fois, avec ces nuances de groseille et de cannelle, légèrement fumé en finale, et le Bordeaux Supérieur Grande Sélection 2014, 100% Merlot, est d’un équilibre soyeux, complexe, avec ces senteurs de fruits rouges bien mûrs et une touche de cannelle très caractéristique.
Son Saint-ÉmilionGrand CruChâteau La Fleur Penin 2015, 85% Merlot et 15% Cabernetfranc, vignes âgées de 35 à 70 ans, à la robe profonde, aux nuances de cuir et de myrtille, est d’une belle complexité, aux taninsgras et harmonieux, des notes fondues en finale, idéal, notamment, sur un jarret de veau aux cèpes ou des cailles rôties.
Il y a encore le Château Penin Tradition 2015, le Château Penin blanc 2016, tout en bouche, le Château Penin rosé 2017, fruité, aux notes de framboise, franc et persistant, et ce très séduisant Clairet 2017, gourmand et souple, franc, parfait à l’apéritif ou sur une quiche.
Sainte Barbe était une Chartreuse typique de Bordeaux du XVIII siècle surplombant la rivière, avec de belles dépendances. La maison est située sur les rives de la Garonne avec une vue magnifique sur la rivière. Elle est construite au-dessus des caves qui se trouvent au rez-de-chaussée où les barriques de vin étaient emmagasinées. Elles pouvaient être roulées à la main au bord de la rivière pour être chargées sur des navires à destination de l’Angleterre et de l’Europe du Nord.
Le vignoble de Sainte Barbe couvre actuellement 30 ha d’argiles sur des solsalluviaux sur la rive droite de la Garonne. La majorité des vignes ont été replantées en 1999 par la famille Touton. La propriété a été rachetée par la famille de Gaye en 2013 (ChâteauGrand Corbin Manuel, à Saint-Émilion). L’amélioration continue des vins et la mise en valeur du patrimoine de la propriété ainsi que son ouverture aux visites sont les priorités actuellement. Nombreuses récompenses obtenues.
Voilà un beau Bordeaux Supérieur 2015, Merlot, Cabernet-Sauvignon, Cabernetfranc, Petit Verdot sur sols d’alluvions (argile, silice, gravier), coloré, d’une jolie robe rouge sombre, au bouquet ample, aux arômes de réglisse et de mûre, aux tanins bien fondus, où s’entremêlent des nuances de cerise noire et d’humus au palais. Le 2014 a des nuances de fruits noirs très mûrs et de notes épicées, de bouche classique, corsé et gras, aux tanins bien présents et fondus à la fois, un millésime déjà tout en charme mais de très bonne garde. Le 2013, avec des taninssoyeux, au bouquet subtil et ample (violette, pruneau), un vin de bouche très équilibrée, est tout en rondeur.
Goûtez le BordeauxMerlot 2015, médailles d’Argent à Los Angeles, aux Vignerons Indépendants et au Concours général de Paris, de belle robe, de bonne base tannique, ample et corsé, avec ce nez subtil dominé par la fraise mûre, un vin qui mêle charme et richesse, charnu, où dominent la fraise des bois bien mûre et l’humus, en finale, à déboucher, par exemple, avec une fricassée de ris et rognons de veau aux brocolis ou des brochettes d’agneau grillées
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