– L’accord idéal des mets et des meilleurs Saint-Emilion

Pour les terroirs, voici ce qu’il faut retenir :

– Le secteur le plus simple à définir, historiquement et géologiquement, c’est celui du plateau qui culmine à quelque 100 m d’altitude, caractérisé par des coteaux et des pentes aux expositions variées et aux sous-sols tout aussi variés (dépôts marins et continentaux, calcaires marins à astérie, molasse…), qui font la diversité de son terroir et la typicité de chaque cru. C’est le territoire du château Ausone qui domine la côte de Saint-Émilion en regardant la plaine, issu d’un sous-sol de molasses et de sables éoliens.

– Le deuxième secteur est celui qui se rapproche de Pomerol. Ici, les châteaux possèdent leur propre personnalité, et les sols sont des graves profondes, plus ou moins riches en argiles, en silices et en sables selon les sols, en alios en sous-sols.

– Le dernier secteur s’étend sur la plaine de la Dordogne, autour de Libourne (les sables), des communes de Vignonet et de Saint-Sulpice-de-­Faleyrens, des territoires issus de formations alluviales qui se trouvent de l’autre côté de la nationale Libourne-Castillon, où les sables sont également omniprésents, avec des graviers. On y fait généralement des vins plus souples, l’exception confirmant bien évidemment la règle.

DU PLUS GRAND AU PLUS ABORDABLE, LES MEILLEURS SAINT-EMILION DE L’ANNEE

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