Pourquoi s’attarder à déboucher une bouteille avec un producteur imbu de lui-même ou un simple bon vin, sans personnalité réelle ?
En trente ans, les manipulations œnologiques, la mode, l’appât du gain… ont bien souvent mis en avant des propriétaires où le snobisme passe bien avant la modestie, cherchant les louanges ou les honneurs d’un gourou, investissant dans les vignes comme d’autres dans des terres à maïs… croyant -ou voulant nous faire croire- qu’il suffit d’un beau chai pour faire un grand vin.
Ce serait bien trop simple. Aucun vigneron bourguignon, corrézien, alsacien, sancerrois ou champenois… digne de ce nom, ne se risquerait à déclarer de telles inepties : ils savent qu’il faut surtout un terroir.
Et un terroir, c’est quoi ? C’est l’osmose d’un territoire, d’un sous-sol, d’une histoire, de cépages spécifiques, d’une gastronomie régionale, d’un climat, et… d’un homme (ou d’une femme).
Le hasard n’a rien à voir là-dedans, ni la frime. Et ceux-là, ceux qui élèvent les vins dont on a du mal à se passer, les voici.
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