À l’apéritif
Champagne (et Crémants de Saumur, d’Alsace…), Sauternes, Vins Doux Naturels et la plupart des vins blancs secs ou moelleux. VOIR LE CLASSEMENT DES MEILLEURS CUVEES DE CHAMPAGNE Les entrées – Asperges : un Muscat d’Alsace. – Artichaut : un rosé sec d’Anjou. – Avocat : des blancs secs (Graves, Quincy, Touraine), voire moelleux (demi-secs de Loire). – Caviar : Corton-Charlemagne, Champagne, Pouilly-Fumé. – Choucroute : Riesling ou Tokay d’Alsace. – Escargots : un Bourgogne, rouge ou blanc. – Foie gras : Champagne rosé ou grand millésime, assez vineux, Gewurztraminer et Tokay Vendanges tardives avec un foie d’oie alsacien, Barsac ou Sauternes avec un foie de canard du Sud-Ouest. – Jambon de Parme ou de San Daniele : blancs secs (Pouilly-Fuissé) ; essayez aussi des blancs moelleux (Loire, Alsace). – Œufs : des rouges légers (Beaujolais…), voire un Clairet de Bordeaux. – Pâtes, sauce à la crème : blancs secs de Bourgogne ou des Graves. – Pâtes, sauce tomate : un CDR-Villages. – Pâtés et terrines : des vins assez solides comme un cru du Beaujolais (Juliénas, Morgon…), un Madiran, un Chinon, un Coteaux-du-Languedoc, un Moulis… – Potages : un Champagne rosé, un Coteaux-d’Aix blanc ou des rouges frais. – Quiche : un Tokay Pinot Gris jeune, des rouges légers (Beaujolais, Loire, Jura, Bergerac…) ou des demi-secs de Loire et du Sud-Ouest. – Paella : un Bandol rouge, un Corbières ou un CDR-Villages. Sinon, les rosés, avec une priorité pour les plus parfumés comme ceux de Provence, du Languedoc ou un Clairet de Bordeaux. – Saumon fumé : Pouilly-Fumé, Champagne. |
Les fruits de mer et les crustacés
– Coquillages : Muscadet ou Entre-Deux-Mers. – Coquilles Saint-Jacques : soit un blanc sec (Graves, Pouilly-Fuissé, Chablis), soit un blanc moelleux si elles sont à la crème. – Crevettes : la plupart des blancs, et surtout ceux d’Alsace. – Cuisses de grenouilles : un blanc rond, fruité comme un Graves, un Mâcon, un Côtes-du-Rhône ou un Touraine. – Écrevisses : un Pouilly-Fumé ou un Chablis. – Homard : des vins suaves et parfumés comme les Meursault, Chablis Grands Crus, Châteauneuf-du-Pape ou Pinot Gris, et les grandes cuvées de Champagne. – Huîtres et moules : Sylvaner, Muscadet, Entre-Deux-Mers… Les Poissons – Bouillabaisse : des blancs (Cassis, Bandol, Côtes-de-Provence), un rosé ample et fruité. – Poissons grillés : des vins blancs secs (Anjou, Mâcon, Pinot Blanc, Côtes-de-Provence, Entre-Deux-Mers…). – Poissons en sauce ou à la crème : des vins blancs puissants (Meursault, Pernand-Vergelesses, Pessac-Léognan, Tokay), voire liquoreux. – Poissons de rivière : des vins blancs relativement secs comme le Sancerre, un Apremont, un Chassagne-Montrachet ou un Riesling. Avec la lamproie, du Sauternes. Sinon, Champagne. – Sardines fraîches : un blanc très sec et très frais (Sancerre, Muscadet, Abymes, Gaillac, Entre-Deux-Mers…). – Saumon grillé : des vins blancs puissants (Pouilly-Fuissé, Chablis, Montrachet). Les viandes blanches – Brochettes et côtelettes d’agneau : la plupart des vins rouges, avec une préférence pour les Bordeaux relativement souples ou des vins très parfumés (Corse, Bourgueil…). – Côtes, escalopes et ris de veau : des rouges légers comme les vins du Beaujolais, un Sancerre rouge, voire un Graves. Sinon, des blancs denses et parfumés (Alsace, Pernand-Vergelesses, Vouvray). – Côtes, escalopes et ris de veau à la crème : un Puligny-Montrachet, un Châteauneuf-du-Pape blanc, un Coteaux-du-Layon jeune. – Curry d’agneau : un vin blanc onctueux et épicé comme le Gewurztraminer, ou un Condrieu. – Gigot d’agneau : des Bordeaux tanniques (Médoc, Pessac-Léognan), un Saumur-Champigny, un Chinon ou un Chambertin. – Jambon, côtes et rôti de porc : des rouges légers (Beaujolais) ou plus ronds (Saumur, Touraine, Côtes-de-Bourg, Gaillac), et des blancs complexes (Côtes-du-Jura, Condrieu, Pouilly-Fumé, Chablis Premiers Crus). – Rognons : des vins riches, rouges (Volnay, Saint-Émilion) ou blancs (Jura, Quincy) selon leur préparation. Les viandes rouges – Bœuf bourguignon ou pot-au-feu : le même vin rouge que celui employé pour la cuisson, et tout particulièrement un Bourgogne puissant (Pommard, Mercurey), un Gigondas, un Minervois ou un Bandol. – Bœuf rôti : la plupart des vins rouges assez corsés et tanniques, les Bordeaux relativement jeunes, les Bourgogne (Auxey-Duresses, Santenay), ceux de la vallée du Rhône (CDR-Visan), ceux de la Loire (Chinon)… Les volailles et le gibier – Canard : des vins puissants et parfumés comme un Hermitage, un Châteauneuf-du-Pape, un Gevrey-Chambertin ou un Pauillac. – Confit de canard : des vins corsés (Madiran, Cahors, Saint-Émilion, Corbières, Corton). – Gibier à plume : des rouges corsés (Pommard, Hermitage, Moulin-à-Vent, Bandol, Cahors, Pauillac, Saint-Émilion, Châteauneuf-du-Pape…) ou Vendanges Tardives et Sauternes. – Gibier à poil : des rouges encore plus puissants (Côte-Rôtie, Bandol, Saint-Estèphe). – Oie : soit un vin blanc légèrement moelleux (Anjou…), soit des rouges frais et légers (Beaujolais, Touraine…). Si c’est une oie farcie, un Margaux ou un Côte-de-Beaune. – Poulet à la crème : des blancs demi-secs ou moelleux de Loire, dess blancs secs puissants et ronds (Pessac-Léognan, Meursault)
|