L’ex-patron de Greenpeace France, proche de Royal, estime qu’il manque des pièces dans la version de son dossier qu’il a pu consulter au siège de la Cnil.
Selon lui, les RG ont outrepassé leur mandat « soit volontairement et sciemment en faisant une investigation sur un membre d’une équipe de campagne politique alors qu’ils n’ont pas à le faire, soit par incompétence, ce que je n’ose pas imaginer ».