Mondovino, ça pète ou ça casse

Deux ou trois choses quand on voit le film Mondovino : on a vraiment envie de boire un canon avec Hubert de Montille comme avec sa fille qui a l’étoffe pour lui succèder…

on respecte la famille Mondavi pour leur réussite, on apprécie beaucoup Michael Broadbent, Aimé Guibert et Rosenthal (l’importateur américain) qui défendent ce que l’on aime : la vraie typicité des terroirs et l’humilité… on a un petit rictus sur les propos des proprios de Kirwan comme sur ceux de Rolland où l’argent et la mondialisation règnent en maître et pour lequel un bon nombre de producteurs français semblent être de vrais « culterreux » (faut pas qu’il tombe en panne d’essence dans le Languedoc…). Quand à l’intervention de Parker, si on a bien compris, c’est grâce à lui que l’on apprécierait les (certains,ndlr) vins de Bordeaux… (ah bon, merci pour les autres) et son chien (péteur) est sympa. Le rire est le propre de l’homme.

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