Lu dans le Fig-Mag du 1er Avril qu’un propriétaire du Médoc se met en cheville avec un oenologue pour produire un pur produit marketing, où l’appellation ne compte pas (« ni nom, ni millésime », précise l’auteur de cet article qui fait aussi un drôle de parallèle avec ceci et la belle aventure de Philippe de Rothschild, pour laquelle on est quand même à un autre niveau), dénommé « winemaker’s… » et (évidemment) destiné au marché américain (on espère qu’ils auront une note de 100 sur 100 chez un critique du coin, faut bien ça). Fallait le faire, ils le font. En voilà une bonne façon de promouvoir à l’export nos vins français, les appellations et le terroir. Et merci pour les vignerons qui défendent la typicité.